Parc Blandan

En place et lieu d’un ancien fort militaire, le Parc Blandan a ouvert ses portes au public en septembre 2014. Depuis le 17 mai 2019 et après 2 ans de travaux de réaménagement, le parc compte 3 hectares supplémentaires.

Ce nouvel espace vert lyonnais est organisé en trois espaces principaux : l’esplanade, le fort et les douves.

Un véritable écrin de verdure, pensés pour tous

La partie haute, où se tenait auparavant le fort militaire, est dorénavant favorable à la détente entre amis ou en famille grâce aux nombreux espaces ombragés. Ici, les bancs, les tables de pique-nique et les chaises longues ont été fabriqués à partir de pierres des bâtiments démolis afin de conserver l’esprit de l’ancien fort.

En contrebas du fort, vous trouverez une grande prairie de 15 000 m², idéale pour se prélasser au soleil, jouer entre amis ou tout simplement pique-niquer, ainsi que 18 000 m² de terrains de sport (basket, volley, badminton, football et ping-pong) tout équipés et accessibles à tous. 

Vers le parvis Sardou, nos chers petits gones (de 3 à 12 ans) peuvent partir à l’assaut de la Vague des remparts. Cette aire de jeux de 1000m² et spécialement pensée pour le Parc Blandan est exceptionnelle et unique. Il s’agit d’un mur en bois truffé d’installations ludiques et de passages secrets qui débouchent sur trois toboggans tubulaires. De quoi laisser libre court à leur imagination !

Ouvert tout au long de l’année, le Parc Blandan est définitivement à découvrir !

Le Parc Blandan en quelques chiffres

• 150 000 m² de parc aménagé dont 30 000 m en partie haute
• 11 000 m² d’espaces arborés
• + de 100 arbres plantés
• 70 espèces de plantes différentes
• 1,5 km de promenade pour faire le tour du parc
• 22 900 m² de pelouses
• 1300 m² de skatepark
• 7 000 m² d’espaces sportifs

Qui était le sergent Blandan ?

Le sergent Jean-Pierre Blandan est né à Lyon, le 9 février 1819, dans l’actuelle rue Constantine. En 1837, il s’engage dans l’armée d’Afrique et il participe à de nombreux combats en Algérie. Le 11 avril 1842, alors qu’il conduit un détachement d’une vingtaine d’hommes pour porter le courrier du camp de Boufarik à celui de Blida, le jeune soldat et sa troupe sont attaqués par quelque 300 cavaliers arabes. Le sergent refuse alors de déposer les armes et encouragea ses hommes à se battre jusqu’au bout. Il meurt de ses blessures le 12 avril 1842, à l’âge de 23 ans.